telle une lame sans foureau

Voila un petit Rp que j'ai moi même écris ....

Cela ne concerne pas alidhan .... mais comme j'ai vu partie Rp , et que ce n'est pas préciser Very Happy

me suis jeter sur cette partie Very Happy

comme un ours sur du miel geek

Venez, approchez. Non, non, ne soyez pas nerveux, tout va bien.
Je suis là pour vous conter une histoire. Un récit dont j'ignore l'issue, mais un récit dont le commencement n'a aucun secret pour moi. Cette histoire n'est pas commune, croyez moi. Oh, je ne prétends pas que cela soit la meilleure chose que vous lirez, attention. Je dis juste que je douterais que vous ayez jamais lu pareille histoire. Qu'elle vous lasse, vous emporte, vous dégoûte... Au moins, vous l'aurez lue. Et quel autre intêret pour une histoire que celui d'être simplement dévorée ?

Il était une fois....
Il était une fois une simple épée. Rien de particulier. Une arme forgée par un homme passionné et attentif, forgeron excellant dans son art. Il donnait corps à chacune de ses créations avec un soin particulier, rendant chacune d'elles uniques et hors de prix. Fous sont ceux qui considéraient ces lames comme de simples objets d'apparât. Car malgrés leur beauté, ces armes établissaient fort bien la besogne qui attenait à leur création : trancher les chairs. Pourtant, la plupart de ces pièces finirent en éléments d'exposition, n'étant jamais utilisée pour le but premier : combattre.
Las de cette constatation, le forgeron décida de se retirer. Mais avant, il voulu conclure en beauté son oeuvre, et créa une toutes dernière lame. Toute aussi belle et mortelle que les autres, à une exception prés. Cette lame serait donnée à un guerrier, un combattant qui mettait sa vien en jeu chacun de ses combats. Cette épée ne serait pas la fierté d'un énième seigneur en mal de reconnaissance. Non. Cette épée trancherait, tuerais et combattrais.

Elle fût achevée un soir, au moment même où le jour se mêle à la nuit. Une superbe rapière que son créateur nomma l'Alrunee. Une superbe rapière, à la lame effilée, au tranchant affûté. L'épée était faite pour des coups rapide, la lame solide bien que légèrement flexible, la poignée évitant le glissement et d'un diamêtre idéal pour s'adapter à de nombreuses mains sans gêner.
Cette création était superbe. Mais fidèle à sa promesse, le forgeron ne la vendit pas. Il n'en parla pas, attendait patiemment celui qui serait digne de brandir sa dernière oeuvre.
Cinquante longues années passèrent sans que personne ne se présente. Le vieux forgeron n'était pas loin de rendre l'âme, enterrant avec lui sa rapière. Mais le destin en décida autrement. C'est un soir, au moment où le jour se mêle à la nuit, que l'ont frappa à la porte du vieux faiseur d'arme.
Une femme vêtue de noir, au cheveux de la teinte de l'ébène se présenta là. Elle se nommait Diana Vivelame, et était à la recherche d'une arme avec laquelle combattre sans brider ses talents.En cette femme au palmarès plus que reconnu, le forgeron vit que son arme ne serait jamais mieux maniée.
Il lui confia donc l'Alrunee, ne lui demandant qu'une seule chose en guise de paiement : transmettre la lame à une personne méritante, qui saurait la manipuler. Diana accepta, le jurant sur l'honneur guerrier. Le vieil artisan mourut quelques temps aprés, sans avoir connaissance de ce que la femme en noir allait faire de son épée.

Pourtant, il n'aurait pas été déçu. Diana Vivelame exploita vite le potentiel de l'Alrunee. La guerrière devint vite une vraie légende du combat, y faisant entrer sa fabuleuse rapière avec elle. L'Alrunee devint vite une arme au nom redouté et jalousé. Une lame qui au fur et à mesure des combats, se gorgait de sang.
A la mort de Diana, l'Alrunee fût transmise à l'élève de Vivelame, un jeune garçon nomme Arantyr. Lui aussi perpétua la légende, faisant de l'Alrunee une arme à part. Mais au fur et à mesure que le sang la souillait, en l'épée emergeait une sorte de "conscience". Une notion abstraite, indisctinte, mais bien présente. Et tout au long des passations de l'arme de mains en mains, cette conscience grandit. Et l'acier finit par acquérir des compétences jusque là inconnues. Elle était capable de concentrer en elle l'énergie ambiante d'un endroit pour la relacher sous la forme d'un rayon rose dévastateur. Sans compter la vitesse d'execution que cette arme conférait à celui qui l'utilisait.
Et ces capacités grandissaient au fil des siècles, tandis qu'en la rapière, un brouillon d'âme se dessinait dans les méandres de l'inexistence, au fin fond de l'acier.

Mais il faut une fin à tout, même si cette finalité est plutôt un début.
Le dernier porteur en date de l'Alrunee était une femme. Une bretteuse borgne, au bras gauche sectioné. Elle se nommait Ailizen, la Lame-Cyclope. Ses capacité hors du commun associées à celle de la rapière de légende firent d'Ailizen une adversaire désignée pour abattre le Fléau qui s'abattait alors sur la Terre, un être immonde connu sous le nom de Caliban.
Et le combat fût lancé. Un combat dans lequel Ailizen et sa lame ne firent presque qu'une, unies contre le Fléau. Cet affrontement fût à la limite du divin, et particulièrement éprouvant. Un défilé de techniques, de coups spéciaux, d'arcanes secrètes... Le simili-esprit qui était celui de l'Alrunee ne fût pas de trop dans la lutte. Et elle fûrent victorieuses. Mais la victoire allait coûter un lourd tribu à la guerrière borgne.
En effet, Caliban n'était pas un démon, mais un ange envoyé sur Terre afin de purifier l'humanité de ses pêchés.Et les Dieux Trés-Anciens n'apprécièrent pas que leur envoyé soit abattu par une simple femme, aussi douée soit-elle. Alors Ailizen fût punie pour son forfait. Elle qui était vive comme l'éclair et libre comme le vent fût contrainte à l'immobilité, en devenant un arbre du jardin des Dieux.
Mais les Trés-Anciens comprirent que l'arme de la Lame-Cyclope était tout aussi redoutable. Ils pensèrent bien la détruire, mais un autre châtiment lui fût imputé.
Une Déesse Trés-Ancienne, Fabula, comprit vite que la Rapière nommée l'Alrunee n'avait rien de commun. Elle avait ressentit dans le métal l'âme qui y était née. Alors, pour se débarasser de l'arme, elle fît quelque chose auquel ses frères et soeurs divins ne comprirent rien. Fabula donna forme humaine à l'épée, qu'elle renomma Alrunee. Elle en fît une femme superbe, mais au niveau de conscience à peine supérieur à celui d'une jeune enfant.
De son aspect d'arme, Alrunee avait conservé ses capacité physiques hors du commun, et sa capacité à accumuler l'energie. Sans compter son talent à l'épée, fruit de plusieurs siècles de batailles. Fabula lui interdisit à tout jamais de se servir d'arme forgées dans l'acier, sous peine que son corps soit dissout.
N'oublions toutefois pas que Fabula était la déesse de la Pitié... Pour qu'Alrunee puisse se défendre lorsqu'elle serait renvoyée sur un monde, la Déesse lui donna une arme bien particulière. Une épée de bois, nommée Bokken, taillée dans le bois d'un arbre du jardin des Dieux. Et pas n'importe quel arbre...
Ceci fait, la jeune femme fût envoyée, nue, dans la campagne bordant une ville appellée Samroun. Son seul bagage, son sabre de bois.

Et pour Alrunee, l'aventure commence. Une aventure où le but et d'exister, tout simplement.
Mais être le fil tranchant de l'acier le plus pur, et agir tel une lame sans fourreau... Est-ce vraiment aussi simple ?

Il n'y a rien a dire car je ne peux trouver les mots qui designent un si beaux et fabuleux rp!!

oué ses vrais

très joli

juste la couleur horrible a lire quand on a mal a la tête lol

*de retour sur le forum ^^ *

la couleur est jolie ^^
est enfin de retour c'est cool

L'histoire est très bien écrite, très agréable à lire.
Sans trop de fautes, on dirait un conte, ou une fable.
Franchement, tu as des dons ^^